Léo Ferré Suite en Mot Majeur

Après les 4 premières émissions disponibles sur mon site (en bas de la page d’accueil) : « Du je au nous », « Un Poète en Quercy », « Humour, ironie, dérision… », « La musique, les mots et le silence »  les 5  suivantes sont arrivées.

Je vous présente la 5e en Mot Majeur puisqu’il s’agit de la mise en musique de poètes : Rutebeuf (XIIIe siècle) « Pauvre Rutebeuf », Villon (XVe) « Frères humains » poètes qui, au-delà des siècles, fraternisent avec les pauvres humains que nous sommes.

Ronsard cueillant des roses avec ses stances et d’autres cités ou détournés dans les vers de Léo Ferré : Salomon, Racine, Shakespeare, Hugo, Corbière, Laforgue, Lautréamont, Mallarmé.

Baudelaire et son bouquet noir de fleurs du mal, Verlaine : « Le plus humain de tous, le plus démuni. », Rimbaud « un géant aux semelles de vent » et Apollinaire, poète de la modernité, qui passe la poésie du XIXe au XXe siècle.

Léo Ferré a mis des notes sur leurs mots, ses pas dans les leurs à Paris, Charleville, Marseille…

« Les poètes meurent quand ils ne sont plus dictés par l’ineffable. »

Les poètes vivent lorsqu’ils sont portés par la musique.

Léo Ferré chez Apollinaire – Bd Saint-Germain – Paris
Photo Alain Marouani