Derrière mon étal

Pourquoi, ce refus de réfléchir ? Moi, à « me prendre la tête », « je prends mon pied ». Et comment expliquer la rareté d’échanges authentiques ? En juillet, un homme m’a longuement expliqué que je ne vendrai pas mes livres dans cette ville de « décérébrés » : je devais recourir aux réseaux. Lui, poète et scientifique, concevait des textes de vulgarisation, son site se révélait porteur. Peut-être que ceux ciblés attirent, mais un site littéraire… Il ajouta qu’il n’appréciait pas…

Lire la suite