Pour…
Pour consoler le temps qui passe, j’écris mots perdus agrémentés de notes enrubannés de têtes de linotte des mots tout ciselés dans l’en-dedans virevoltant comme des cerfs-volants des mots parlant volutes et spirales roulés en torsades verticales des mots tressés enlacés plus puissants que les armes poissées rouges de sang des mots s’inventant à chaque instant des mots mêlant le futur au présent des mots cinglants qui renvoient l’insulte des qui rient s’amusent et exultent…
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