Un concept sympathique qui implique choix, partage, solidarité, interaction, liens… (Le terme anglais croque un peu.) Mon prochain roman,  Le désordre des choses verra le jour, ou pas, sous ces auspices.

Ainsi procèdent les Éditions Maïa à Paris qui ont retenu mon ouvrage. Animations obligatoires,  temps limité… Sur le site, diverses options s’offrent aux participants 6 € le nom figure dans les remerciements, 12 € nom et livre numérique, 19 € un vrai livre en avant première et à domicile (port compris) avec votre nom si vous le souhaitez, etc. Quelques clics ou un envoi par courrier aux éditions si vous préférez.

Actions –

• Envoyer des courriels : adresses souvent obsolètes – nombreux retours,  recherches…
• Contacter mes lecteurs : j’ignore les coordonnées de la plupart. Parmi ceux que je connaissais, plusieurs ont quitté ce monde impitoyablement barbare.

Les réponses : quelques soutiens effectifs, des encouragements courtois. Des aveux : lecture en diagonale, plus tard, peut-être, recontactez-moi… et le vide abyssal de l’espace intersidéral.

Les galeristes estiment que pour un envoi de 100 invitations, 10 personnes viendront et 1 achètera une œuvre, éventuellement.

En procédant aux envois, je ne nie pas la part de jeu, voire pour certains, que je sais sans espoir, une jubilation morose. Il en est d’autres que j’ignore benoitement.

Et les réseaux me direz-vous : c’est l’instantanéité, le monde entier ? Certes, mais l’instant est bref, le monde grand et je ne suis qu’un fragment dans cet univers débordé.

Étapes du lancement : 25 % la couverture est élaborée par un graphiste, 50 % relecture, etc.

Mon but : que l’éditeur, avec les 100 %, donne naissance à l’ouvrage, mais surtout qu’il le diffuse, le distribue, le publicise, sinon un livre périclite dans le silence et l’oubli, puis meurt entraînant son auteur.

Au cas où… https://simply-crowd.com/produit/le-desordre-des-choses