Autodafé
La maison des écrivains et de la littérature à Paris n’existe plus, les archives : huit cents cassettes d’entretiens, abandonnées. Où donner asile aux livres et aux rêves ? Dans les Salons du livre et autres étalages livresques où je m’obstine à présenter mes œuvres, les passants me confient fièrement se fournir dans les boîtes à livres ou, à la rigueur, dans les bibliothèques. J’ai cessé d’exposer ma théorie : si les fruits et les légumes étaient…
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