été
La nuit étoilée prend son temps Elle attend le bleu brûlant du jour suivant qui déjà palpite bourdonne fusionne crépite effervescences des transparences La terre étale ses cicatrices au tempo des cigales qui craquettent et se régalent comme les poètes L’été prolonge tous les étés un bond sans terme l’encore culminant dans le renoncement l’ombre plonge verticale s’enferme l’air s’emplit de cosmogonies d’ailes poudrées qui s’effritent furtives agonies pas même célébrées Le temps crépite dans…
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